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Association de Défense des Droits des Enfants (ADDE)
« Programme Parrainage Scolaire Solidaire de l’ADDE »
L’ADDE. Créée en 2014, l’ADDE « Association de Défense des Droits des Enfants » est une organisation humanitaire qui promeut l’épanouissent de tous les enfants en Mauritanie, dans le respect de leurs droits. Permettre à tous les enfants d’accéder à l’éducation notamment à la scolarité, tel est l’un des premiers buts poursuivis par l’association. L’ADDE a lancé en 2015 un projet humanitaire permettant de faciliter aux enfants des rapatriés l’accès au collège et au lycée.
Populations cibles. Depuis 2007, le gouvernement mauritanien a procédé au rapatriement de citoyens mauritaniens qui ont été déportés de la Mauritanie vers le Sénégal et le Mali suite aux évènements de 1989 et 1991. Ces rapatriés (hommes, femmes et enfants) vivent aujourd’hui dans des camps, sans structures scolaires secondaires. L’ADDE œuvre pour que les enfants des rapatriés puissent accéder aux écoles secondaires dans les villes environnantes à travers son programme de Parrainage Scolaire Solidaire.
Le programme de Parrainage Scolaire Solidaire. Œuvrer pour mettre les enfants dans les meilleures conditions d’étude en leur offrant les fournitures scolaires nécessaires, en les inscrivant dans un établissement privé avec un engagement de l’école pour un meilleur suivi et en leur facilitant leur transport.
Localisation. Dans un premier temps, les camps ciblés par le projet parrainage scolaire solidaire de l’ADDE sont situés dans les environs de la ville de Boghé.
Sites : Houdalaye, Hamdalaye, Belele Ournguel, Mourtogual.
Le parrainage. Consiste à offrir une contribution de 5000 MRO (15€) par mois pour la scolarisation de l’élève, d’avoir un contact régulier avec l’élève pour le conseiller et l’aider à s’orienter. Les dons ponctuels aussi sont acceptés.
Finalité. Promouvoir l’éducation pour tous notamment les enfants des rapatriés.
Le programme de parrainage scolaire solidaire de l’ADDE vise à participer indirectement au règlement du passif humanitaire après le retour des réfugiés Mauritaniens, en scolarisant leurs enfants, pour accélérer leur intégration dans la société et ainsi leur ouvrir de meilleures perspectives d’avenir.