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Né en 1961, à Aioun El Atrouss dans le sud-est de la Mauritanie, L’homme politique Mohamed Ould Borboss est avant tout professeur de Lettres.
Militant du mouvement abolitionniste Elhor, de l’historique parti, Action pour le Changement (AC) et de l’Alliance populaire pour le progrès( APP), c’est ainsi qu’il a fait naturellement une grande partie de son parcours politique auprès du leader Messaoud Boulkheir.
Maire d’El Mina, en 2001, sous les couleurs de l’AC, puis ministre dans l’un des gouvernements de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, en 2008, sous les couleurs de l’APP.
Quelques mois, après une crise au sein de l’APP, Borboss et un groupe de camarades, décident de constituer un comité de crise (APP/Comité de crise) qui finira par devenir le parti El Moustaqbel, dont il est le président.
En 2014, Mohamed Ould Borboss est accusé de « rapprochement » avec le pouvoir, il est exclu du parti El Moustaqbel, Dont Samory Ould Beyd prendra la tête.
Mohamed Ould Borboss crée alors le parti de la construction et du progrès ( PCP).
En 2019, Mohamed Ould Borboss soutient Mohamed Ould Ghazouani lors de la présidentielle 2019.
Est-ce que Mohamed Ould Borboss s’est-il désorienté des questions de l’esclavage, des droits des Haratines et de cohésion nationale en Mauritanie? Clairement, non. D’ailleurs c’est l’objet même de son premier livre intitulé, L’enfer, hier, dans le corps, aujourd’hui, dans l’âme, qui vient de paraître chez Harmattan.
Quel bilan de ses années de lutte politique ?
Qu’en est-il de ses relations avec Ould Boulkheir et avec Samory Ould Beye ?
Que pense t-il de première année de règne de Ghazouani ?
Quel avenir pour lui et le PCP?
Toutes ces questions, nous le posons à notre invité Mohamed Ould Borboss pour votre émission l’entretien de RMI.