Note de réponse aux allégations mensongères d’une nébuleuse association des milieux esclavagistes soninkés UASSDG

En cette fin du mois béni de Ramadan Kareem propice au pardon et à l’assainissement des âmes, nous croyions que les milieux soninkés défenseurs des coutumes féodalo-esclavagistes allaient avoir une once de décence morale et intellectuelle pour se faire d’interrogations nécessaires sur leurs mentalités et comportements. Hélas il n’en est rien, ils sortent derrière une énième dénomination associative sous l’intitulé « Unions des Associations Soninké pour la solidarité et le développement au Guidimakha », pour diffamer et mentir honteusement devant l’opinion publique nationale et internationale. Eux qui se surnommaient, tunka lenmou koffo, fils de fondateurs de villages ou AGDD, existent réellement via quelques groupuscules WhatsApp qui sont entre autres « démocratie islamique, tounka lenmou fabandi taxa, fans donald trump… ». Le seul élément visible de leur nébuleuse est cette adresse mail fake « dsoumare458@gmail.com » utilisé pour envoyer leurs productions fallacieuses et lâches par de procédés hypocrites. Dans leur dernière communication lue sur Cridem https://cridem.org/C_Info.php?article=756079 , les tentatives malsaines habituelles à salir notre engagement pacifique d’éveil humaniste et citoyen contre l’esclavage coutumier dans la communauté soninké notamment dans nos villages au Guidimagha, sont d’une vacuité innommable.

Complexés et dépassés par la marche humaniste et civilisationnelle de notre époque, ils se sont illustrés dans une bassesse sociale sur l’affaire autour d’une paisible dame Mme Maimouna Cissoko d’origine malienne qui vit avec les siens depuis bientôt 30 ans dans le village de Diaguily. Ces milieux soninkés qui s’époumonent sans cesse à nier les coutumes esclavagistes et féodales au Guidimagha, veulent la peau de cette femme au seul motif qu’elle a osé indexer justement ces mêmes coutumes qui sévissent pratiquement dans les villages soninkés dans notre sous-région. Ils sont obsédés par la dynamique militante irréversible Ganbanaaxu contre un ordre coutumier érigé de discriminations et de ségrégations, et les contre-vérités factuelles dans leur communiqué dévoilent leur irresponsabilité manifeste et un manque de moralité inouï.

En citant quelques cas d’agression dans certains villages, ils ont travesti toutes les données avec une hypocrisie sinistre alors que les dossiers judiciaires sont connus de tous via différents communiqués et des procès tenus ou en suspens à Selibaby :
✓À Hamague en 2019, ce sont 2 jeunes gens de notre communauté Ganbanaaxu qui avaient été blessés par balles réelles par un élément de leurs clans sociaux (Images disponibles mais choquantes).
✓À Hassi chaggar, notre tante Madjigui Coulibaly avait subi une grave blessure par moto délibérément par un jeune haineux féodal (Images disponibles mais choquantes).
✓À Dafort le 31 juillet 2021, notre frère Samba Moussa Koné avait été violemment agressé, ligoté et filmé largement diffusé par les féodaux du village. Toujours son dossier judiciaire est en cours dans le circuit de la justice qui tergiverse étrangement car ses agresseurs et leurs complices sont libres aujourd’hui (Images disponibles mais choquantes).
Sur l’affaire d’une agression aux circonstances mystérieuses aujourd’hui à Diogountourou dont la victime (Paix à son âme) n’a pas survécu par la suite, les démarches judiciaires sont en cours pour démêler les choses réellement.
Cette entité nébuleuse UASSDG des officines qui défendent les coutumes esclavagistes et féodales, est une énième voix caricaturale et honteuse qui n’atteindra aucunement la justesse et l’honneur de notre engagement pacifique pour l’avènement d’une égalité sociale et citoyenne dans notre communauté et dans notre pays d’une manière générale.

Nos idéaux Ganbanaaxu ont acquis un ascendant moral et civilisationnel sur vos petites lâchetés immorales.

Nouakchott, le 30 avril 2022

administrator,bbp_keymaster

Leave A Comment

Activer les notifications OK Non merci