- rmi-info
- 0 Comments
- 138 Views
Dans cet article, j’aborderai un sujet qui a fait couler beaucoup d’encres un peu partout dans le monde depuis des années 1889 et qui est l’un de pilier du développement durable. Vous avez bien compris que je parle de l’environnement. Néanmoins on parlera également les problèmes et enjeux environnementaux.
Il est important de définir l’environnement pour pouvoir se situer, l’environnement est tout ce qui nous entoure que sa soit biotique et abiotique.
Depuis la révolution industrielle, le monde a constaté des problèmes environnementaux, parmi ces problèmes on peut citer : la pollution de l’air, la pollution de sols, la pollution de l’eau, la disparition des espèces végétales et animales, l’épuisement de la biodiversité et le réchauffement climatique. Chacun de ces problèmes cités peut faire l’objet d’un sujet d’article, c’est pour quoi nous avons choisi de parler du réchauffement climatique, même si tout est lié dans le temps et l’espace.
Lorsqu’on parle du réchauffement climatique, on parle de l’augmentation des températures liées à l’activité industrielle et notamment l’effet de serre. Le réchauffement climatique en général est d’origine anthropique dont les causes ne sont pas naturelles mais économique et industrielles.En effet, les gaz qui sont principalement responsable du réchauffement climatique sont : gaz carbonique (CO2), Méthane(CH4), Ozone (O3) et gaz fluorés. Ces gaz à effet de serre sont dus aux nombreuses activités humaines qui en produisent trop on peut citer les automobiles, les productions industrielles et la déforestation qui participe massivement à l’aggravation de gaz a effet de serre car les plantes jouent un grand rôle dans la fixation du gaz carbonique.
Les conséquences du réchauffement climatique.
Les conséquences sont alarmantes en 50 ans, le niveau des océans s’est élevé de 10cm et l’étendue de la glace arctique a rétréci de 2,7% par décennie. Sans oublie également une acidification et une désoxygénation des zones océaniques, cela pourrait limiter la capacité des mers de la planète à produire de l’oxygène et surtout à stocker le CO2.D’après une étude de l’union international pour la conservation de la nature sur les espèces biotiques ; sur les 93577 espèces étudiées pour la liste rouge mondiale 2018, 26197 ont été désignées comme menacées. Parmi ces espèces, 41% des amphibiens, 13% des oiseaux et 25% des mammifères sont menacées d’extinction au niveau mondial.
Son effet sur l’écosystème
Le réchauffement climatique affecte l’ensemble de l’écosystème mondial et pas seulement la chaleur ressentie, la météo s’en trouve perturbé, avec une augmentation des phénomènes météorologique extrêmes, des changements des modèles météorologique habituels. Cela veut dire plus des tempêtes, plus d’inondation et des sécheresses. Nous connaissons que ces derniers années la Mauritanie ne s’est pas épargnée de ce fléau car nous avons connu beaucoup d’inondations sur l’ensemble du territoire nationale et il y’a eu même des pertes des vies humains, des villages détritent à moitie samba kanji un village dans la commune de gouraye, dans la région de Guidimakha illustre un exemple concret.
Le cas de la Mauritanie
La Mauritanie est un pays désertique, (même si le climat n’est pas la même sur l’étendu du territoire) et aride. Donc nous sommes plus menace par les problèmes liés à l’environnement car un pays à peu prés de 90% sans verdures est plus fragile à réagir face à la désertification. D’ailleurs nous savions que la désertification est la cause des malnutrition-sévères dans les pays sub-sahariens.L’envahissement des dunes est parmi les facteurs aggravants des fréquents accidents de la route.Le changement climatique en Mauritanie a provoqué des perturbations importantes sur le cycle de l’eau, pluies souvent très tardives, parfois tres intenses, ou pas suffisamment fortes, ainsi l’inondation et sécheresse alternent ou se superposent la même année, au même endroit.Imprévisibilité et la variabilité des saisons pluvieuses handicapent lourdement les projets du développement du pays.
Conséquence économiques et sociales.
La désertification et la sécheresse en dehors de la dégradation de la nature, ont entrainé la migration des familles et destruction sociale manifeste entrainant des pertes de repères. La croissance démographique. L’état par la politique de son ministre de l’environnement fournit beaucoup des moyens pour ralentir ou stopper les dunes de sables par plusieurs méthodes, la plus connue est le reboisement.Les processus de lutte contre le réchauffement climatique comprennent les paramètres suivants :
Pour éradiquer ce fléau, il faut avant tout réduire les émissions de gaz à effet de serre. Pour cela il faut se retourner vers les énergies renouvelables qui sont : énergie solaire, éolien, et hydro-électricité. Et d’éviter les énergies fossiles. Mais il faut également réduire sa consommation énergétique, optimiser les utilisations des ressources.
Sensibiliser à la protection de l’environnement (rôles des associations).
Ne minimisez pas votre pouvoir individuel, et n’hésitez pas à tenter de convertir votre entourage car parfois nous oublions les plus proches pour aller voir d’autres alors que nous devons commencer les siens.
Le recyclage des déchets est une contribution active au développement durable. La gestion des déchets est une solution rentable pour améliorer l’économie locale. Par exemple à Genève 15 entreprises de gestion de déchets emploient plus de 300 salaries. Plus on recycle les papiers, moins on tue l’arbre.
En Mauritanie, toutes les organisations nationales ou internationales qui œuvrent dans l’environnement doivent faire le reboisement de leurs priorités car l’arbre joue un grand rôle dans la fixation des dunes.Et surtout que les pays signataires de l’accord de paris sur climat de le respecter. Je reviendrai prochainement sur l’accord de paris sur le climat.
La seule bonne chose que la COVID-19 a apportée au monde si on peut le dire ainsi (mdr), lorsqu’elle a mis à l’arrêt pendant des longs mois une partie de l’économie mondiale et les activités humaines, a entrainé une chute brutale des émissions des gaz carbonique (CO2) à environs 7% des émissions mondiales soit 2.4 milliards de tonnes. Jamais une telle diminution n’avait été observée auparavant. Lors de précédentes crises mondiales (1945, 1981, 1992, 2009) elles n’avaient jamais dépassé 0,9milliards de tonnes.
Pour finir, le monde est un village planétaire ce qui affectera les états unis, la chine et d’autres puissance mondiales n’épargnera pas la Mauritanie, la COVID-19 en est un parfait exemple. Chacun de nous est responsable et peut apporter son expertise, ses efforts pour sauver la planète.Respectons les mesures de barrières, la COVID-19 est tjrs la parmi nous.
